Immobilier locatif ancien : comment alléger le coût des travaux de rénovation ? Contenu réservé aux abonnés
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Si la fiscalité de l'immobilier est plutôt dissuasive, la législation fiscale autorise la déduction des frais. Grâce à différentes formules, il est possible d'amortir le montant des travaux et de faire grimper la rentabilité nette de son investissement. Mode d'emploi.
Par Laurence Boccara
Voilà déjà plusieurs mois que les professionnels de l'investissement l'affirment : l'achat d'un bien avec de gros travaux à la clé peut se révéler une opération rentable à condition, toutefois, de choisir un régime fiscal adapté à sa situation.
Si le diagnostic de performance énergétique (DPE) est récemment devenu moins contraignant pour les passoires thermiques de moins 40 m2, cette équation à plusieurs variables (niveau d'imposition, existence de revenus, fonciers, décote du bien, coût des travaux et de la rénovation thermique, etc.) est plus que jamais opportune dans un marché immobilier où le facteur travaux est une importante source de décote. Deux régimes, celui du déficit foncier et celui de la location non meublée, permettent d'alléger la facture finale. Ce qu'il faut savoir pour faire le bon choix.
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